À l’ombre du manoir t. 2 : Le jardin aux statues, Lizzie Felton

Quatrième de couverture

Le compte à rebours est lancé. Violette voulait redonner vie au manoir de ses rêves, mais c’est lui qui détruit peu à peu sa famille. Les événements étranges se sont précipités, laissant chaque membre dans une situation délicate. La chambre interdite continue de livrer au compte-goutte les souvenirs de ses premiers occupants, toutefois, les mystères qu’abritent les murs de la bâtisse demeurent entiers…

Sauf peut-être pour Soren… Pour le simple apprenti qu’il prétend être, il semble définitivement en savoir plus sur les secrets du Manoir. Que cache la chambre interdite ? Le jardin aux statues ? Et si l’histoire se répétait ?

À présent que les brumes vermeilles ont cerné l’édifice, l’énigme devra à tout prix être résolue et la malédiction brisée pour assurer la survie de la famille.

Mon avis

Après une panne de lecture entre mars et avril, j’ai renoué avec la joie d’être tellement prise par un livre que je l’ai dévoré en quelques jours ! Et c’est le tome 2 de À l’ombre du manoir de Lizzie Felton, paru tout récemment aux éditions du Chat Noir, qui m’a offert cette expérience !

Pourtant, on ne peut pas dire que Le jardin aux statues soit une lecture joyeuse, c’est même carrément l’inverse ! Mais commençons par le commencement : j’avais lu le tome 1 en janvier, lors d’une Lecture Commune organisée par l’autrice. Bien que cette lecture soit récente, j’ai apprécié que la maison d’édition fasse figurer un résumé en ouverture du tome 2 – j’avais commencé à oublier les détails de l’intrigue (le Covid est passé par là…), et j’ai ainsi pu me remettre dans l’histoire.

C’est d’autant plus important que le tome 2 est une suite directe des événements clôturant le tome 1. Et Lizzie y frappe fort ! Du début à la fin, j’ai frémis pour les personnages. Du début à la fin, j’ai crains pour eux. Si je n’avais pas été aussi fatiguée, j’aurai probablement lu le livre en une seule nuit blanche – et croyez-moi, l’autrice joue tellement avec nos nerfs que c’était vraiment à regrets que je posais mon livre !

En plus, Lizzie manie fort bien l’art du secret : moi qui croyais tenir une piste solide, j’ai compris que j’avais presque tout faux lors de la grande révélation finale ! Et j’adore ça, être surprise, tout comme j’ai adoré les indices glissés par l’autrice, l’atmosphère qui m’a fait frissonner, le sort suspendu à un fil des personnages, le doute constant quant à leur survie, l’angoisse…

La couverture est signée Mina M et je l’ai contemplée plus d’une fois au fil de ma lecture, tant elle rend bien l’atmosphère comme certains détails cruciaux du roman.

En bref, ce tome clôt avec panache une duologie que je relirai très certainement à l’avenir, en automne. Si vous aimez les histoires de maison hantée, de familles et de secrets, foncez !

Challenge Printemps de l’imaginaire francophone, menu Derniers frimas, catégorie Brouillard

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