Ma nouvelle publication : Trois Cercles de Fer

Cette année, les parutions s’enchaînent ! Et il est temps de vous parler de la toute dernière, parue le 15 avril dernier : Trois Cercles de Fer, chez Magic Mirror éditions. 🐸 Je vous en avais un peu parlé lors de l’annonce de la sortie de Bad Queen, en mars. Et ce n’est pas un hasard, car la genèse de ces deux textes est liée.

Trois Cercles de Fer est un roman qui a marqué un véritable tournant dans ma vie d’autrice comme dans ma carrière. Si vous suivez ce blog depuis longtemps, vous vous souvenez peut-être de ce mois de septembre 2019, où j’avais évoqué avoir eu, un soir bien noir, l’intention d’arrêter l’écriture. J’étais alors au quart du premier jet de TCDF.

À l’époque, je traversais une période difficile. Cela n’a pas été sans conséquence sur l’écriture, d’autant que j’ai commis la pire erreur qui soit : je me suis forcée à écrire. Parce que je croyais qu’un véritable auteur écrivait tous les jours (c’est faux !), je culpabilisais donc de ne pas réussir à avancer, et me forçais à écrire, alors même que je traversais une épreuve aussi éprouvante pour le mental que le physique et que je courais d’un rendez-vous médical à l’autre.

Le résultat ? Un soir, après plusieurs mois de ce régime, j’ai ouvert mon fichier, et tout ce que j’ai éprouvé à l’idée de ma session d’écriture, c’était du dégoût. Je n’avais plus envie d’écrire, plus envie d’avancer dans cette histoire qui me faisait pourtant tellement vibrer quand je m’y étais lancée, plus envie de soumettre mes histoires – à quoi bon ? Je ne recevais que des refus… certes encourageants, mais je voyais alors tout en noir.

Ce soir-là, si j’avais décidé d’arrêter, TCDF n’aurait jamais été fini. Je n’aurais pas écrit Bad Queen, ni Sang d’écume, ni aucun des textes qui ont suivi. Je n’aurais aussi sans doute rien publié car, si mes souvenirs sont bons, je crois que je n’avais pas encore soumis La Captive de Dunkelstadt aux éditions Noir d’Absinthe, manuscrit qui allait devenir mon tout premier roman a être publié…

Alors oui, Trois Cercles de Fer a été un véritable tournant ! Parce que je suis bien entourée – encore mille mercis à toutes celles et ceux qui m’ont aidée ❤️ – j’ai poursuivi son écriture. Et quand je l’ai terminé à l’été 2020, j’avais renoué avec le plaisir que me procurait le fait de dérouler le cheminement de mes personnages. Cette même année, j’ai signé mes deux premiers contrats d’édition et vu paraître mon premier livre !

Mais le rêve ne s’arrêtait pas là. ✨

J’ai eu l’idée d’écrire Trois Cercles de Fer fin 2017, peu après avoir reçu un refus aussi encourageant que bienveillant de Magic Mirror éditions pour un autre manuscrit (qui cherche encore son éditeur à ce jour). C’est une maison d’édition que je suis depuis ses débuts, car spécialisée dans les réécritures de contes. Et les contes, j’adore ça !

Leur réponse était extrêmement encourageante ! Alors je me suis lancée dans ce nouveau roman absolument pas prévu au programme dans l’intention de le leur proposer. J’adore le thème de la métamorphose, et le conte Le Roi Grenouille m’est tout de suite venu à l’esprit. Je savais sous quel angle je voulais le revisiter : mettre en lumière le personnage du valet, Henri, qui n’a droit qu’à quelques malheureuses lignes à la fin du conte originel, alors qu’il paraît receler une histoire des plus passionnantes, avec ces cercles de fer dont il ceint son coeur près de se briser… Et qu’il est mentionné dans le titre. Il méritait d’être le héros de sa propre histoire, sans pour autant négliger le fameux prince métamorphosé et la princesse qui allait lui rendre figure humaine.

Aussi, imaginez mon émotion lorsque, début 2022, j’ai reçu une réponse positive de la part de Magic Mirror, qui figurait en tête de ma liste de soumissions ! Puis en découvrant la couverture de Mina M, qui a croqué avec une justesse étonnante mon personnage principal (dès la première ébauche, je me suis dit « mais oui, c’est lui, c’est Henri ! »). Et celle qui m’a saisie en tenant dans mes mains l’ouvrage imprimé, il y a quelques semaines. 🥺

Ce roman que j’avais failli ne jamais terminer existe aujourd’hui, il est là, il est lu (les premiers avis ont commencé à tomber et sont tous positifs, tous vos messages me vont droit au coeur 😍) et en plus, il est édité précisément dans la maison d’édition où je souhaitais qu’il soit !

Et voici donc le résumé de ma revisite du conte :

À l’occasion du mariage de son frère, le prince Colin de Morenn s’apprête à revoir enfin Amaryllis, plus jeune fille du chef de la tribu des Hommes-Plantes. Des retrouvailles attendues impatiemment, après des années à laisser fleurir une intense relation épistolaire. Accompagné de son fidèle ami Henri le Ferré, Colin se rend au cœur des Jungles de Jade pour célébrer les noces, mais les retrouvailles avec la jeune femme seront vite écourtées.

L’ombre de la guerre menace les royaumes, voilà des années que Bramwell Mugridge tisse sa toile depuis sa Cité Flottante. Est-ce ce génie stratégique qui a donné aux Frrogites, le sombre peuple des Hommes-Grenouilles, la solution pour voguer sur la mer et atteindre les côtes de l’île de Morenn, jusque-là hors de portée ?

Colin rentre précipitamment à Morenn. Il assiste, impuissant, à la prise de l’île et un mot déplacé attire sur lui la colère des Hommes-Grenouilles. Quand leur malédiction s’abat sur son prince, le cœur d’Henri se brise. Seuls les cercles de fer dont il est ceint l’empêchent de s’effondrer de chagrin. Parviendra-t-il à trouver en lui les ressources pour libérer son ami de toujours ?

Amaryllis, jusqu’alors protégée des remous politiques, doit affronter les conséquences de la chute de Morenn, tandis que le sort de Colin la plonge dans le désespoir.Bien des chemins seront contrariés et des destinées bouleversées par les manigances de Mugridge. De la moiteur vénéneuse des jungles aux dangers hantant les mers, le temps presse pour sauver Colin…

Parce que parfois, un conte de fée peut devenir réalité. 🥳

Ma nouvelle publication : Bad Queen

Si vous suivez ce blog depuis longtemps, vous vous souvenez peut-être de ce fameux projet rédigé au cours du NaNo 2020, un projet qui porta un temps le nom de code de « projet estival » (puisque j’en ai commencé la préparation au cours de l’été 2020) et qui s’avéra si gros qu’il déborda du NaNo sur le mois de décembre.

Ce projet ? C’était Bad Queen et j’ai la joie de vous annoncer qu’il vient de paraître aux éditions Noir d’Absinthe ! 🥳 Vous pouvez désormais le trouver dans toutes les librairies (sur commande), ainsi que sur le site de l’éditeur. Pour les personnes lisant en numérique, il est disponible sous ce format sur Amazon.

C’est un gros bébé de 556 pages (format papier), une relecture féministe du personnage de la célèbre Méchante Reine du conte Blanche-Neige. C’est aussi une romance, dans un univers dark fantasy. Et, également, un roman qui tient une place toute particulière dans mon parcours d’autrice comme de vie…

Alors qu’il vient de paraître samedi dernier, j’aimerais partager avec vous la genèse de ce texte – promis, sans spoiler !

Certains romans sont étroitement liés à ce que nous traversons dans la vie. Cela arrive, en tant que lecteurs, que nous lisions un jour un texte dont le propos résonne fortement avec l’étape dans laquelle nous sommes. C’est aussi vrai lorsqu’on est auteur. Au printemps 2019, le ciel m’est tombé sur la tête. Un coup de tonnerre qui m’ébranla, un coup de tonnerre qui marqua le début d’une longue et douloureuse période sur le plan personnel.

Quelques mois plus tard – je m’en rappellerai toujours – au cours de l’été 2019, alors que je m’apprêtais à prendre ma douche (oui, je sais, c’est cliché ! 😅 mais c’est vrai), tout à coup, c’est comme si elle se trouvait là, devant moi. La Reine-Sorcière, la méchante reine. Et elle m’a révélé qui elle était. Et j’ai su, alors, que nous partagions toutes deux une même blessure. J’ai su que je raconterai son histoire. Je n’ai pas choisi d’écrire sur ce personnage : c’est elle, qui s’est imposé à moi.

Ce n’était alors qu’un germe d’histoire, la première étincelle. Une étincelle qui s’est développée, jusqu’à janvier 2020, où l’histoire complète s’est déployée dans ma tête tout au long du mois. Le projet poussait très fort, alors, pour que je l’écrive. Mais, à cette époque-là, je me remettais tout juste d’une terrible crise créative, où j’avais failli abandonner l’écriture. Crise directement liée à ce que je traversais…

Par ailleurs, j’avais un roman suspendu en cours (Trois Cercles de Fer), et je tenais à le terminer d’abord, c’était important à mes yeux que je me réconcilie avec l’écriture en allant au bout du projet qui avait pâti de cette période si noire. Malgré tout, Bad Queen était si pressant que je me suis autorisée à en rédiger le prologue et l’épilogue, au cours du mois de février 2020.

Ensuite ? Ensuite j’ai repris puis bouclé Trois Cercles de Fer, me réconciliant ainsi avec l’écriture. Armée de cette confiance renouvelée, je me suis donc lancée tête la première dans la préparation, puis, au cours du NaNo 2020, la rédaction de Bad Queen ! Le premier jet a littéralement coulé tout seul, jamais je n’avais écrit autant de pages en si peu de temps ! Jamais je ne m’étais sentie aussi fébrile, au cours de la journée, attendant impatiemment le moment où je pourrais enfin m’installer devant mon clavier et laisser l’histoire couler, couler, couler. Laisser l’histoire mettre des mots sur mes maux.

Ce roman, j’y ai mis mon chagrin et ma colère, mes pleurs et mes cris. J’ai voulu briser le tabou du silence qui entoure l’un des thèmes abordés. Cela reste toutefois une fiction, racontant le destin de personnages tout aussi fictifs. Une fiction qui évoque plusieurs thèmes sensibles : le deuil, la guerre, la condition de la femme, et bien sûr celui qui m’a touchée.

Le fait que le roman aborde un sujet intime a peut-être joué dans cette facilité d’écriture, mais je pense qu’avoir pris le temps de me réconcilier avec mon art, comme de prendre soin de moi en cette période tourmentée, a aussi porté ses fruits.

À présent, ce roman si cher à mon coeur s’envole vers vous et, pour reprendre les mots de mon mari qui est toujours aux premières loges de mes états d’âmes d’autrice, je suis comme la conceptrice d’une montage russe qui voit les premiers visiteurs grimper sur les sièges. Vont-ils vibrer aux passages les plus émouvants ? Vont-ils être emportés par mes mots ? Vos retours le diront…

La splendide couverture est signée Amaryan, elle a su retranscrire parfaitement tant l’esprit du personnage que celui du roman. Elle dissimule aussi des symboles présents dans le texte, qui prennent tout leur sens à la lecture de l’histoire 😉

Et donc le résumé de Bad Queen :

Miroir, miroir… connaissez-vous son histoire ? Bien avant qu’elle soit reine ou sorcière, Violaine, guerrière décelant les destins, était loin de se douter que le pouvoir coulant dans ses veines lui vaudrait tant d’attentions. D’abord de la part de cruels étrangers, prêts à l’arracher à sa famille et à sa patrie pour s’approprier ses pouvoirs… Puis d’un royaume menacé et de sa reine, dont elle deviendrait le dernier espoir… Et enfin de cet homme, l’ennemi honorable dont elle ne pouvait deviner le futur et qui, pourtant, faisait battre son coeur avec tant de force… Miroir, miroir… préparez-vous à entendre l’histoire de Violaine, la Reine-Sorcière !

J’espère que cette ré-interprétation toute personnelle de la célèbre Reine-Sorcière vous plaira !

Ma nouvelle publication : Sang d’écume

Le 20 janvier dernier est parue ma première publication 2023 : Sang d’écume, une novella fantastique. Une publication dont je suis très heureuse, car elle m’a permis de réaliser un rêve que je nourrissais depuis près de 10 ans, celui de rejoindre l’équipe du Chat Noir, maison d’édition que je suis depuis tout aussi longtemps. C’est même un double rêve que j’ai réalisé là, puisque la couverture, superbe et reflétant parfaitement l’ambiance du texte, est signée Mina M. Une illustratrice que j’adore !

La genèse de ce texte est particulière, puisqu’elle s’est faite en deux temps. Tout a commencé il y a plusieurs années, où, une nuit, un rêve m’est venu (je dis souvent que ma Muse est proche de Morphée, parce que c’est le cas !). Au réveil, j’ai tout de suite pensé qu’il comportait les éléments d’une bonne histoire, mais il me manquait quelque chose pour me lancer dans la rédaction. J’ai donc pris en note ces éléments, je savais déjà que ce serait un récit court (nouvelle ou novella), et je l’ai laissée mûrir. Le temps a passé, régulièrement je feuilletais mon carnet à idées, je retombais sur ce pitch et je pensais que oui, il y avait là matière à écrire une histoire, mais il me manquait toujours un élément clé.

On arrive à l’été 2021. L’été où une sorte de conjonction astrale s’est produite. Les éditions du Chat Noir rouvrent leurs soumissions, ils ouvrent aussi une collection dédiée aux novellas et je traverse alors une période particulièrement source d’angoisses.

Ce n’est pas un secret, je suis une personne anxieuse. À ce moment-là, j’étais si stressée que
je n’en dormais plus la nuit, c’était une période difficile. Je me suis alors souvenue de ce vieux pitch, j’ai rouvert mon cahier à idées, et là j’ai su que l’histoire était mûre. Elle était tellement prête à être rédigée, et moi j’avais tellement besoin d’évacuer mes angoisses, que j’ai rédigé et corrigé le texte en 15 jours. Il a littéralement coulé tout seul ! J’en ai été la première surprise.

La suite ? Un « oui » reçu en décembre 2021, qui m’a tellement mise en joie que j’en ai fait de nouvelles insomnies – j’étais trop surexcitée ! ^^ Pour une fois, mon anxiété qui, d’ordinaire, me pourrit plus la vie qu’autre chose, m’aura permis de réaliser un beau rêve !

À présent, Sang d’écume est là, il part entre vos mains. Voici le résumé de ce texte aux inspirations lovecraftiennes :

À bord de la frégate où elle est navigante, Mélie se sent comme chez elle. La mer l’a toujours appelée et elle n’envisage pas sa vie ailleurs que dans la Marine. Toutefois, une ombre plane sur ses missions au large, celle de sa mère. Elle qui n’a jamais vu d’un bon œil l’attrait de sa fille pour l’océan et qui est convaincue, depuis toujours, que Mélie est maudite. Qu’elle trouvera la mort en mer, comme son père autrefois.

Pure superstition aux yeux de la jeune femme. Pourtant d’étranges rêves la hantent, accompagnés d’un parfum d’algues et d’embruns. Des rêves qui la laissent terrifiée, et où flottent d’étouffants tentacules qu’elle croit parfois discerner aussi dans la réalité, là, juste sous l’écume.

En mer, quelque chose s’éveille. Une tempête se lève autour de Mélie, alors que sombre déjà sa santé mentale. La malédiction serait-elle bien réelle ?

J’espère que vous aimerez ce récit fantastique imprégné d’embruns, où plane l’ombre de la folie.

Nouvelle publication : Bérénice Libretti t. 2

Voilà déjà 15 jours que le tome 2 de Bérénice Libretti est sorti, il était temps de me fendre d’un billet par ici pour en parler ! 🙂

Ce second volet s’intitule À la recherche des mots égarés, l’intrigue se déroule plusieurs mois après les événements survenus dans le premier volet, aussi, si vous ne l’avez pas lu, je vous conseille de commencer par ce premier opus !

Bérénice et ses collègues restent marqués par ce qu’ils ont vécu, mais voilà qu’ils vont se retrouver embarqués dans une nouvelle aventure.

Voici le résumé :

Rien ne va pour Bérénice : elle ne maîtrise pas son pouvoir et Nils ne lui adresse plus la parole.

Elle n’a pas le choix, elle doit trouver des réponses et comprendre pourquoi son pouvoir lui pose tant de problèmes, et pour ça, une seule option : les Bibliothèques Divines. L’idéal pour un rat de bibliothèque comme elle. Mais les réponses ne sont pas si simples à obtenir, surtout qu’une encre aux étranges propriétés fait son apparition. Et que Fhtagn, son collègue, disparaît.

Un nouveau défi pour Bérénice dans cet urban fantasy entre suspense et humour.

L’écriture de ce second volet a été particulière : c’était un plaisir de retrouver mon univers et de laisser à nouveau libre cours à ma passion pour les livres et la mythologie ; dans le même temps, je me suis mise une pression considérable car il s’agit d’une suite. Vous êtes nombreux à avoir apprécié le premier tome, aussi je voulais vous offrir une suite à la hauteur. Sauf que, vous me connaissez, j’ai aussi peu confiance en moi que Bérénice, je n’ai donc pas cessé de douter durant la rédaction de ce second tome !

Heureusement, les retours de l’équipe éditoriale, puis les vôtres qui ont commencé à arriver, ont eu vite fait de faire taire cette vilaine voix intérieure ! 🙂

Au coeur de la science-fiction, Gillian Brousse

Au cours de précédents Points Plumes, je vous avais dit que je travaillais sur un projet secret, tout en précisant qu’il ne s’agissait pas d’un roman.

Ce projet secret, le voici ! 🙂 Il s’agit d’un gros essai sur la science-fiction, écrit par Gillian Brousse – par ailleurs auteur lui-même d’un roman de science-fiction, Spleen Cities – et édité chez Noir d’Absinthe. Pour l’occasion, Gillian a proposé à plusieurs personnes d’écrire un ou plusieurs articles en contribution à cet essai. Vous pourrez ainsi retrouver des articles signés Rachel Gali, Wilfried Renaut, A.F Lune, Les tribulations de Miss Chatterton, Morgane Stankiewiez, Laurent Cazuguel et moi-même ! J’ai en effet répondu positivement à l’invitation de Gillian et rédigé trois articles qui figurent dans ce bel ouvrage ! 😉

La Science-fiction incarne pour certains le domaine des possibles, alors que pour d’autres elle apparaît comme puérile, car souvent réduite à des stéréotypes éculés et des œuvres non représentatives. Avec cet ouvrage, nous entendons vous faire (re) découvrir ce vaste genre aux multiples facettes capable comme nul autre de s’interroger sur notre monde. Nous allons parcourir le temps à la recherche du moment où tout a commencé, rencontrer les précurseurs et les personnalités du genre, nous faufiler au cœur de récits majeurs et explorer ses thèmes de prédilection. Qui que vous soyez, peu importe où et quand vous existez, vous découvrirez des œuvres qui résonneront en vous. Alors, respirez un grand coup et accrochez-vous à ce livre, mais n’attachez pas vos ceintures, car là où nous allons, nous n’aurons plus besoin de routes…

Et parce que c’est son auteur qui en parle le mieux, je vous invite à regarder cette courte présentation en vidéo de l’ouvrage par Gillian Brousse lui-même ! 🙂

Au coeur de la science-fiction : (re)découverte d’un genre est disponible depuis le 24 septembre aux éditions Noir d’Absinthe.